Chantier participatif le 1 et 2 octobre : chape chaux/sable et pose de terre cuite à Chanoz Chatenay (Ain)

C'est dans belle bâtisse en pisé que Camille et Christophe vous accueilleront pour cette formation par la pratique :

Pose d'une chape à la chaux sur un sol chauffant (22 m2) le premier jour et pose de de terre cuite pour le deuxième jour.

 

L'organisation sera la suivante :

    •    9h accueil-présentation-attentes
    •    9h 30 : point technique sur la chaux / la pose des carreaux en terre-cuite
    •    10h : Préparation et démarrage du chantier
    •    12h 30 : Repas offert par Camille et Christophe
    •    14h/17h : Suite de l'application
    •    17h/ 18 h : Nettoyage - bilan

• Formation gratuite : 8 stagiaires possibles
• Pré-requis : aucun. tous(tes) les débutants(tes) sont accepté(e)s
• Hébergement : possible
• Repas du midi : si vous suivez un régime particulier, merci de le préciser.
• Matériel requis : chaussures de chantier, gants, lunettes.
• Adresse : je vous l'envoie lors de votre inscription au chantier

 (par mail svp)
  

 

 

Une Logette transformée en maisonnette

La façade étant terminée. ERDF est passée pour installer un compteur électrique à part.

Voici donc la situation avant leur arrivée :

Le renfoncement va donc accueillir la logette électrique.

Initiation au zéllige marocain dans la cuisine du T2

Suite au dernier voyage au Maroc, j'ai rapporté quelques souvenirs dont une centaine de zélliges. 

Mais-qu'est-ce donc que les zélliges ? 

Il s'agit de mosaïque taillées avec un marteau spécial que les artisants (artistes ?) marocain taillent par millier pour composer de véritables chef-d'oeuvre. 

En voici un exemple  :

Traitement des terres cuites (mise à jour)

 Les terres cuites ont été posées il y a plusieurs mois. Le risque d'avoir des  remontées de chaux est donc infime. Le traitement est dès lors possible.
Les produits utilisés sont l'essence de térébenthine et l'huile de lin. Au vu de l'expérience vécue dans la cuisine, j'ajoute sans hésiter du siccatif.

L'expérience dans la cuisine
Dans la cuisine, nous avions passé de très nombreuses couches de plus en plus grasse :
1ères couches : 75% d'essence de térébenthine et 25% d'huile de lin
2èmes couches : 50% d'essence de térébenthine et 50% d'huile de lin
3èmes couches : 25% d'essence de térébenthine et 75% d'huile de lin

Dans les pièces avec peu de risques de tâches, de type salon, couloir... ce traitement a suffi et aucune tâche n'est parvenue à "s'accrocher" au sol. Par contre, dans la cuisine, après plusieurs mois d'utilisation (nous sommes 6, famille de 4 enfants) des dizaines de tâches (café, huile....) ont persisté. Il a fallu tout nettoyé et retraiter le sol.

Il fallait donc apporter une modification à la formule de base puisque cette dernière n'était pas suffisament efficace.

Voici les terres cuites avant le traitement :

Et après le traitement :

 Et voici comment j'ai procédé :

 

Finitions en partie haute du T2

Utilisation de corde en chanvre en guise de couvre-joints, de carreaux en pierre pour mettre en valeur des boites de dérivations, de récupération de chutes de tasseaux comme mini-couvre joints... Bref, les finitions sont plaisantes et mettent bien en valeur le travail effectué à ce jour.

Pour commencer, voici les plaques de Fermacel passées à la brosse au badigeon :

Les parties rouges ont été obtenues en appliquant un enduit de terre rouge (terre de St Nazaire en Royan. Il s'agit d'un reste de la maison qui devait avoir près de 2 ans. Un peu d'eau et c'était reparti) ou une peinture à l'ocre rouge maison.

Les plintes ont été "fabriquées" à partir de lames de parquet que j'ai défoncées pour obtenir le quart de rond puis huilées. Au plafond, seules les poutres ont été huilées.

chantier réalisé : ouverture dans le pisé et voûte en terre cuite

Vous trouverez sur Formaterre, un petit compte-rendu du dernier chantier école chez Christophe et Bernadette.

Vous pouvez d'ailleurs visiter leur blog

 

 

Voici donc la situation de départ :

Et le résulat du travail réalisé :

 

Bravo à Christophe pour le décoffrage.

sol en terre cuite éconologique (15 € m2, transport et joints compris)

Vous trouverez sur Formaterre, une solution éconologique pour un sol en terre cuite qui revient à 15 € le m2 (transport et coût des joints compris). 

Voici le résultat : 

plinthe maçonnée avec incrustation de mini-tomettes

Nous l'avons déjà fait il y a 2 ans environ. J'ai donc essayé de reprendre l'ancienne technique décrite dans le blog en y apportant quelques modifs pour l'améliorer.

L'objectif étant d'avoir une plinthe solide, j'ai donc pris de la NHL 5 (la perspirance passe dans ce cas au second plan) que j'ai mélangée avec du sable et de la paillette de lin. Voici le résultat : 

Voici comment j'ai procédé :

Sol chauffant et terre cuite pour le T2

Note étrange : Suite au commentaire de Monique, je me suis rendu compte qu'une grande partie des photos légendées avaient disparu. Voici donc cette note mise à jour. 

Comme pour la maison mais à échelle réduite. A la place de 80 m2, il n'y a qu'environ 25 m2 de PER à poser pour obtenir un sol chauffant recouvert de terre-cuite.

Dans un premier temps, nous avons isolé avec 2 plaques de 2 cm de lièges. 

Puis nous avons posé les PER pour le sol chauffant.

Enfin, est venue la pose des terres-cuites.

Nocturne contre le poulpe

La récupération est toujours le fruit d'une aventure puisqu'il est question de redonner une vie à un objet considéré comme mort (sans projet) par le propriétaire antérieur.

Cette fois-ci, c'est l'histoire d'une imprimante à jet d'encre que j'ai ramenée à la maison. Malheur, m'en a pris car le poulpe veillait sur mes faits et gestes.

Je récupère donc cette petite imprimante en me disant que cela pourrait être pratique d'avoir une imprimante à chaque étage.

Retrospective de la salle de bain mexicaine

Nous approchons la fin du chantier de la maison et j'en conclu qu'une petite dose d'inconscience est importante pour l'entreprise de n'importe quel projet un peu fou.

En voici un exemple avec cette salle de bain mexicaine dans laquelle j'ai du passer plus de 200 h !!!

A l'origine, la salle de bain était ainsi :

l'objectif était d'enlever la baignoire pour mettre une douche. Plus tard, avec un peu d'expérience, nous avons décidé de poser une douche à l'italienne (le support étant à même le sol, donc plus pratique d'accès).

 

A la fin, la salle de bain est ainsi :

 

 

 

Voici donc l'histoire de cette salle de bain. Attention, le billet est long mais agrémenté de plusieurs photo et d'un petit film avec Capucine et Louna.

Les WC mexicains sont prêts à vous accueillir

Mon grand ami Pedro est venu avec sa belle famille nicaraguyenne. Cela faisait lontemps que nous nous étions pas vu. Pour fêter nos retrouvailles, Martha nous a cuisiné de super chilaquiès.

Côté bricologe, Pedro s'est initié à la pose des lambris. Depuis, j'ai avancé et les WC sont terminés à 95% (il ne reste que des petits bois dans les angles à poser et un placard pour madame (nouvelle commande qui ne date que de 3 ou 4 semaines ;-)

Carrelage n'attend pas le nombre d'années...

... mais le nombre de semaines.

 

 

Colombe a passé la deuxième couche d'huile dure (désolé, zé zappé la photo)

Capucine répare sa cheminée. Les vieilles terre cuite étaient très très fatiguées. J'ai donc proposé à ma fille de les changer par de "nouvelles vieilles" terre cuite. Et c'est là que j'ai voulu vérifier si le transfert des connaissances de ma fille allait être positif. Il s'agissait de calculer la largeur et la longueur de chaque carreaux en sachant que l'on en poserait 4 et que les joints feront 10 mm. Et beh, je n'ai pas été déçu du voyage, il a fallu expliquer en long et en large... Mais bon, le métier rentre puisqu'elle m'a dit qu'elle souhaitait terminer mercredi prochain.

Heureusement ma tribu participe activement. Voici Maïa et Louna qui filtrent puis nettoient les terre cuite afin de choisir uniquement "les tommettes premier choix" :

De son côté, Catherine, a peint un encadrement de porte et passé un badigeon sur l'enduit terre du couloir qui sépare la chambre de Louna de celle Capucine. La voici en pleine humidification :

 

Ceci dit, jamais, j'allais imaginer pouvoir vivre une épopée au carrelage. Le nombre d'heures que j'y ai passées m'impressionne pas mal. Rien que ce samedi : 15h !!!

 

Ali est passé vendredi soir, il a super bien complété par la pratque et en situation, la formation que j'ai suivi chez Leroy Merlin (j'ai d'ailleurs un grand article à écrire au sujet de la formation et la plomberie sans soudure). Voici donc le réseau hydraulique géré. Il ne restera que l'habillage :

Côté Karlage Les 3 grands murs de la douches sont terminés :

Je me suis également bien amusé avec l'appui de fenêtre :

Puis, j'ai continué dans la promiscuité :

Ce soir, j'habille la tablette de la douche et termine la plinthe du béton cellulaire. Avec le gros nettoyage des filles et le métier qui rentre, je dois pouvoir aller à 30 carreaux de l'heure. Va falloir que je fasse gaffe aux radars ;-)

Salle de bain mexicaine et éconologique

Finalement, je prends goût au carrelage 10 x 10. J'arrive parfois à faire des pointes de 20 carreaux à l'heure mais guère plus. Je trouve cette activité très "zénifiant". J'écoute France-Inter, je fais défiler les différents projets privés comme professionnels, j'imagine mes filles plus grandes ou bien les 2 petites utilisant leur nouvelle salle de bain...

En attendant, je continue le callepinage (manière d'agencer les carreaux) et voilà ce que cela donne (pour écouter les suggestion de Fred et d'Antoine il vous suffit de cliquer sur les photos pour les voir en plus grand, en 800 x 600).

Je n'ai pas eu le temps de la prendre en photo mais Louna m'a bien aidé en choisissant les carreaux puis en les néttoyant avec une éponge humide.

 

Le mur nord est presque fini. En voici la partie qui se trouve sous la fenêtre (finalement, je récupère les croissillons. Etant donné que les terre cuites, comme les carreaux mexicains sont irréguliers, j'utilise des croisillons de 3 mm en standard ainsi que du 4 et du 5 mm afin de combler les irréularités).

Voici l'angle du mur nord avec le mur Ouest :

Et le muret Nord avec son porte savon intégré :

Il ne reste plus qu'à monter puis à passer à l'autre mur. Je sens bien le ludi soir pour faire une petite nocturne....

Retour au Mexique...

Nous avons vécu 4 ans au Mexique et j'ai vraiment hâte d'ouvrir nos 40 m3 d'artisanat Mexicain.

En attendant, nous posons du carrelage dans une pièce d'eau que j'appelle déjà "la salle de bain mexicaine". Il va falloir avoir de la patience car pour l'instant je pose entre 10 et 20 carreaux à l'heure et il n'y en a qu'environ 800 carreaux à poser.

Le problème est le suivant :

• Ne pas laisser la colle à carrelage imprégner la terre cuite -> nettoyage ultra régulier.
• Etre sûr que les terres cuites n'absorbe pas l'eau de la colle -> toujours avoir une réserve de terres cuite dans l'eau. (petite gamatte).
• Les carreaux mexicains sont moins épais et légèremnent plus grand -> double encollage et croissillons de 4 mm et 5 mm à la place de 3 mm

 

Voici le résultat où j'en suis après une vingtaine d'heures :

Les tommettes les plus foncées sont les dernières posées (elles sont encore mouillées).

 

Les explications en images....

Traitement des terre cuite du RdC

Un peu de vidéo. J'essaye de décrire brièvement comment nous nous sommes organisés. Et encore une fois... sous les conseils de Ste Monique ,-)

 

Crédence : le projet avance

Bon, le projet crédence avance :

• On prendra sûrement une partie en inox (90 x 65) , partie verticale perpendiculaire à la plaque de gaz.
• les petits carreaux n'auront finalement pas de joints. On a fait des essais et on est vraiment pas convaincu. Le simple collage nous plait davantage et en plus, ça fait moins de boulot. Etant donné que les carreaux sont poreux, on mettra de l'huile dure.

Voici la crédence (il manque la partie inox) et les carreaux - prises électriques :

 

Cliquez sur les images pour les voir en plus grand

la grande crédence

 

La petite crédence :

 

le traitement des tomettes, version Monique

Génial, j'ai réussi à joindre Ste Monique. Voici ce qu'elle nous conseille.

Tout d'abord, elle a été un peu inquiète puisque nous avions passé le savon noir à l'huile d'olive ce qui étanchéifie. Mais, étant donné que nous avons mis peu de savoin noir (environ 1 litre pour 50 litres d'eau), nous avons plus lavé qu'étanchéifié.

Donc l'objectif demeure posible : augmenter le contraste des tomettes sans les vernis pour conserver le côté "respirant".

La solution plus douce de Monique me semble également moins dangereuse que celle de Joël. En fait, elle préconise la même recette qu'avec le bois, soit celle donnée par Stéphane. C'est à dire du plus pénétrant au moins pénétrant :

1. Une première couche de 3/4 d'essence de térébenthine et 1/4 d'huile de lin. Faire porter au bain-marie l'huile de lin (l'essence de térébenthine est inflammable). Elle sera ainsi plus fluide et pénétrera davantage sur la terre cuite. Normalement, 1 h ou 2 maximum après, la terre cuite aura tout absorbé (surtout si le mélange est tiède).
2. La deuxième couche moins pénétrante et donc plus grasse : 1/2 essence de térébenthine et 1/2 huile de lin. Faire chauffer également uniquement l'huile de lin (surtout que l'essence de térébenthine est toxique à l'hinalation. Ceci dit, ça sent tellement bon que j'ai vraiment du mal à me dire qu'il faut mettre un nez de cochon...). La difficulté réside à ne pas laisser un pélicule d'huile sur les carreaux qui ne vont pas aborber l'excès. Pour cela, je pense que nous passerons une rangée, puis une autre puis, lorsque nous serons encore à porté de "manche à balai espagnol", nous enlevons l'excès des carreaux qui n'ont pas pu absorbé cette deuxième couche. En fait, il faut surtout se méfier des carreaux jaunes. Ils sont les plus  cuits, donc les moins porreux et ils risquent donc de moins absorber de liquide (quelqu'il soit)
3. La troisième couche, la plus grasse et à mon avis la plus délicate à passer : 1/2 huile de lin et 1/2 essence de térébenthine. La procédure est identique à la celle de la deuxième couche mais il faut être encore plus vigilant car si on laisse une pélicule d'huile, elle durcit et c'est un peu la galère à faire partir.
4. Bien vérifier qu'il n'y a pas de pélicule d'huile quelques heures plus tard puis le plus dur : attendre 48 h minimum avant de marcher dessus.

Si vous souhaitez en savoir beaucoup plus sur les tommettes : pose des joints, décapage, traitement... je vous invite à participer au stage que Monique organise chez Bruno les 16 et 17 février prochains.

Personnellement, je me souviens encore très bien du super chantier école que Monique a organisé sur notre chantier sur la pose d'une chape à la chaux puis pose des terre cuite.

Encore un grand merci à Monique pour tous ses conseils.

Le concept de : 

Traitement de la terre cuite au RdC

Bon, nous avons donc profité du plan : je loue 1 jour et j'utilise 4 jours.

Nous avons donc loué une monobrosse. Auparavant, j'ai disqué pendant 2 heures avec un disque "méchant" en métal... pour enlever parfois quelques milimètres de terre cuite. Et oui, il y avait des grosses différences de niveaux. Ceci dit, entre la disqueuse et la monobrosse à sec (grain 60), le résultat est sympa.

Bernard, ancien castor, qui a travaillé un an dans la finition, m'a dit que je n'avais pas louié la bonne machine. Il aurait fallu louer une meuleuse à eau qui aurait tout nivelé. Mais bon, le résultat est quand même satisfaisant. J'essayerai de faire un p'tit film dans la semaine. Ensuite Christian et Odile sont passés cet après-midi et nous ont appris à utiliser la monobrosse en version liquide (eau tiède + savon noir à l'huile d'olive). Le résultat est encore meilleur. Donc, je pense que l'on en restera là.

Jusqu'à maintenant, nous pensions utiliser le savon noir à l'huile d'olive pour le traitement et l'utilisaition. Mais après avoir passé plusieurs couche, Catherine trouve que le résultat est beau lorsque la terre cuite est mouillé mais trop terne lorsque la terre cuite sèche. Nous nous tâtons pour revenir à une technique plus classique : huite de lin + essence de térébenthine.

J'ai donc appelé St Monique qui n'était pas là. Alors j'ai demandé conseil à Joël, un pro de la restauration, spécialise en taille de pierre. Voici ce qu'il me conseille de faire :

1. Nettoyer les remontées de chaux avec de l'acide chloridrique dilué. 1 litre d'acide pour 10 litres d'eau tiède.
2. Un fois, le sol exempt de remontée de chaux, on peut commencer le traitement.
3. Les ingrédients du traitement sont : huile de lin + essence de térébenthine : 3/4 d'huile de lin et 1/4 d'essence de térébenthine.
4. Porter à ébulition le mélange (attention aux éclaboussure, ça fait mal sur la peau...). L'objectif est que le mélange pénètre bien dans la terre cuite.
   
5. Utiliser une raclette et étaler le mélange partout (pour 70 m2, Joël pense que 15 litres d'huile de lin et 5 litres d'essence de térébenthie devraient suffire.
6. Une fois passé, il ne faut pas marcher sur le sol pendant 48 heures puis tout essuyer.

La réflexion continue. Sinon, j'ai trouvé un article sympa qui a été publié dans la maison écologique.

 

La tomette dans la salle de bain

... Donc, grâce à Maïa, nous avons mis de la terre cuite dans la salle de bain. Par contre, on ne pas pas dire que nous sommes très fier de la colle que nous avons utilisée. Une colle pleine de résine mais bon, sur du lino, archi collé sur du bois, il n'y avait pas d'autres altnernatives. Du coup, nous avons même utilisé cette colle pleine de résine pour les joints. A mon avis, nous avons commis une petite erreur : c'est d'avoir trempé les tommettes. En effet, dans ce cas, elle ont été davantage sensible à la colle et il y a eu des remontées. Ceci dit, les remontées partent au fur et à mesure, donc rien d'inquiétant mais pas à refaire lorsqu'on utilise une colle avec de la résine (par contre à faire lorsque l'on utiliste de la chaux)

Voilà le résultat :

 

Pour traiter la tomette, voici la super recette éconologique offerte à nouveau par Ste Monique :

- 1 bouchon de savon noir à l'huile d'olive dans 5 litres d'eau : X fois. Cette recette est utiliser pour traiter ET entretenir la tomette. Etant donné qu'un litre coûte environ 10 euros, il s'agit véritablement d'une recette éconologique...