24/01/2010
Décapage au "Passé composé"
Un peu de pub pour un autre enseignant qui a reprit une boutique en tant qu'auto-entrepreneur pour décaper les portes, les lits, les coffres, etc....
Mister "Passé Composé" est très sympathique et semble très bien maîtrisé son affaire. A titre d'exemple, il bloque l'action de la base (la lessive de soude qui a agit tout une nuit dans la cuve) avec des acides puis rince le tout à 220 barres.
J'ai hâte de voir les 3 portes que l'on a données. En attendant le voici devant son échopes à Craponnes :
21:35 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (0)
08/11/2009
Les finitions bois dans le grenier et dans la chambre de Maïa
Le travail du bois devient un grand plaisir. Enfin, quand je dis travail du bois, ça se résume à acheter des planches de parquet et de le transformer ... en ce dont j'ai besoin.
Cette fois-ci les besoins concernaient des étangères dont l'un des montants étaient penchés et les finitions dans la chambres de Maïa.
08:34 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (0)
12/09/2009
les plinthes éconologiques de Catherine
Avec la rentrée, je dois remettre ma casquette de dirlo et d'enseignant. J'ai donc moins de temps pour le chantier et le blog. Mais bon, quand on veut....
Cette fois-ci, il s'agit de récupérer du bois pour trouver un système de plinthes éconologiques.
22:30 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (4)
30/08/2009
Les 70 m2 de parquet sont traités
Voici en 3 petits films comment nous avons procédé.
Il s'agissait de traiter les 35 m2 de parquet en chataigner posé à joint perdu et 35 m2 du parquet d'origine en sapin posé à l'anglaise.
07:06 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (5)
22/08/2009
Une oeuvre Dard : un escalier éconologique
C'est l'histoire d'un ancien escalier qui rendait l'âme et de la rencontre de Gaspard (architecte qui propose des solutions alternatives), Stéphane Dard (prof en menuiserie) en chantier participatif. Le tout agrémenté par un zest de récupération de plateaux en hêtre chez Maurice (rencontré à la déchèterie).
Ce long post (le plus long des 393 existants) retrace l'aventure de la restauration de l'escalier avec des matériaux majoritairement récupérés. Afin de mettre en valeur ce magnifique escalier nous en avons profité pour rendre également hommage au pisé :
20:54 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (10)
11/07/2009
Des palettes transformées en échafaudage
Il est vraiment très fort le Fred avec les palettes. Après avoir fabriqué son bureau, il m'a proposé de fabriquer un échafaudage.... avec de la palette.
Et oui, nous avions besoin d'un échafaudage pour :
- gérer le plafond dans la cage d'escalier.
- gérer le mur nord : correction thermique avec 2 cm de plaque de liège collé sur un mortier à la chaux.
Voici donc la situation de départ (légèrement avancée) :
06:05 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (0)
31/05/2009
Pour changer un peu, retournons au 2ème étage
Catherine a fini de poser les carreaux de la crédence. Demain, je prends les photos et je vous montre le résultat. C'est trop beau.
J'appréhende un peu la pose du spot dans la carreau de plâtre (déjà, je me suis amusé à sculpter la terre cuite...) mais bon, chaque chose en son temps.
De mon côté, j'ai eu envie de changer de pièce et de terminer nos placards qui nous attendaient patiement depuis plusieurs semaines. Et beh, je peux vous dire que le travail du bois, c'est vraiment un métier. Mon aventure est plutôt amusante (il faut toujours en rire... ).
L'objectif est simple : poser quelques planches pour donner un toit à nos placards et faire un chevêtre pour entourer une cheminée qui est dans le placard. A priori, rien d'extraordinaire mais bon, personnellement, je ne suis pas très fort dans l'espace contrairement à Fred qui anticipe et visualise toutes les étapes de la fabrication d'un objet (ça m'impressionne pas mal).
Donc voici notre situation initiale :
On remarque à gauche, l'enduit terre de St Nazaire de Royan et la réutilisation des chutes de plaques de placo pour le placard (j'ai mis 2 tasseaux derrière pour solidifier cette cochonerie de placo. Erreur d'achat d'ailleurs puisque le prix de placo hydro = prix de Fermacel ; mais bon, erreur de jeunesse ;-)))
Bref, revenons à nos moutons. Je décide donc de me remettre au placard. Christophe arrive hier dans l'après-midiet on termine un petite placard : pose de quelques lames. Bref, rein de bien compliqué. Par contre la partie qui est sur la photo ci-dessus est bien plus complexe. Heureusement qu'il y a mademoiselle fausse-équerre et monsieur niveau à bulle.
Bref, après plusieurs heures, je fais la photo du boulot terminé vers 5 heures du mat (les noctures deviennent sérieuses ces temps-ci ;-))) :
En général, je suis souvent content et admiratif du boulot réalisé par les débutants que nous sommes... tout en sachant que ça pourrait être mieux mais là c'est la cata. Je regarde encore et ne comprends pas bien la situation (comme quoi les heures de sommeil, c'est important). Eureka, j'ai trouvé : j'ai tout simplement confondu horizontal avec vertical.
A un détail près, le boulot était correct. Je redéfait donc tout : c'est le principe même de "l'école de la vie" et m'attèle à la tâche de manière plus réfléchie :
- utilisation de la scie sauteuse pour faire des angles à 45°
Quelques heures plus tard, les lignes horizontales ne connaissent pas d'exception et le résultat est plus sympathique :
J'en rigole encore. ;--))))))
Bon j'y retourne pour une mini-nocturne (minuit maxi) mais j'ai trop envie de faire les quelques finitions (couvre-joints maison avec les anciennes planche des fauses-poutres du salon entre autres)
21:54 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (2)
03/05/2009
Mets de l'huile...
Lorsque Fred est venu nous aider, nous lui avons offert un modeste café. Mais lorsqu'il l'a posé sur le plan de travail : un tâche. Ensuite, il a fait couler de l'eau qui a coulé en partie, et c'est tout à fait normal, sur le plan de travail, et hop, une autre tâche.
Bref, c'était la catastrophe !!!
Heureusement Stéphane est passé par là et nous a appris à huiler le bois. Nous avons commencé par le poncer légèrement à nouveau. Et voici comment nous avons procédé:
- Nous avons fait chauffer de l'huile de lin (environ 4' pour un verre de 100 ml environ)
- Ajout d'1/3 d'essence de térébentine
- Passage au pinceau sur les plan de travail
- Attendre que le bois picole car c'est la fête pour tout le monde, matériau compris.
- Recommencer à partir de la phase 1.
- Stéphane a même utiliser un décapeur thermique pour chauffer davantage l'huile et augmenter ainsi sa fluidité.
Voici Stéphane avec le décapeur :
Nous avons huilé 2 après midi de suite et je pense que ce n'est pas suffisant. Je vais démonter demain les éviers, retirer la plaque de marbre et recommencer à nouveau toute la semaine.
Stéphane nous a conseillé d'ajouter du sicatif pour avoir un résultat finir plus rapidement mais le sicatif comprend du naphta. Bref, ça ne me branche pas trop. Disons que je ne suis pas trop pressé et surtout que pendant que le bois de picole, nous continuons à faire la fête en restaurant la maison...
Encore merci à Fred et à Stéphane.
Prochain article : la maison a 2 ans ou le voyage en restauration
@suivre...
23:18 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (2)
28/03/2009
J'ai enfin trouvé un décapage éconologique
Après avoir essayé les versions chimique et des versions mécaniques, j'ai trouvé une solution que me convient bien pour ôter la peinture d'une porte à un coût réduit, avec un super résultat et une relatvie rapidité d'exécution :
1. Prendre un rabot électrique et le régler sur 0,5 mm. Le passer 1 ou 2 fois selon l'épaisseur de la peinture. Avec cela déjà, on enlève environ 90% de la peinture en moins de 5 minutes !!!
2. Prendre une ponceuse à bande et poncer la porte avec du grain 40. Le résultat est super.
3. Reste, les petits coins, pour cela une ponceuse triangulaire fait l'affaire. Comme toutes les finitions, c'est toujours le plus long : environ 1 heure.
4. S'il y a des moulures, nous avons choisi une solution "fénéante" mais qui nous plait esthétiquement, on les ponce légèrement et on repeint uniquement ces dernières. Avec un fond en bois, on trouve cela plutôt beau.
Quel dommage de n'avoir pas trouvé l'astuce du rabot plus tôt.
Bref, il n'y a rien de tel que l'école de.... la vie ,-)
21:36 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (0)
08/03/2009
Les Propos d'Alain ou comment se passer de limon...
Hier Alain et Brigitte sont venus manger à la maison. Deux bons vivants très sympathiques. Nous avons bien sûr parler, entre autre, de notre chantier et en particulier de l'escalier. Alain est spécialisé dans le calcul de structures métaliques (ce boulot porte sûrement un nom d'ailleurs...). Sa proposition est simple, après avoir fait de savant calculs.... il nous conseillle de....
....
...
...
..
nous passer limon et d'incruster les marches dans le mur de refend qui est en pisé ,-)
Je suis très content qu'il remette d'actualité cette proposition car j'y avais pensé mais avais abandonné cette idée. Je ne me souviens plus pourquoi d'ailleurs. Par contre, il ne conseille pas d'insérer la marche directement dans le mur (mur qui est en pisé et qui doit faire 50 cm d'épais. Il considère la marche comme un consommable (il faut dire qu'il a bon appétit ,-). Je ne partage pas trop son avis mais bon, c'est à réfléchier.
- "Dring" et hop St Monique fait son apparation au téléphone. Je lui soumet donc le problème et il trouve l'idée super et m'informe qu'il y a des infos à glaner sur le site de système D à ce sujet. Grosso modo, il faut que la marche soit insérer d'1/3 de sa longueur dans le mur. Donc pour une marche d'1 mètre : environ 35 cm. Gaspard arrive sur le chantier dans 2 heures, je vais lui en causer deux mots.
Pour le mortier souple et solide : terre/paille/chaux hautement hydraulique (mon ciment pron éconologique).
Par contre il y aura le demi-tour tournant gauche qui aura besoin d'un limon. Je pense utiliser du bois. Plus facile à récupérer et à travailler mais bon, il faudra que ma proposition passe au prochain Conseil de Famille ;-))
Qu'en pensez-vous, des conseils ?
07:03 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (3)
22/02/2009
Echangeons fausses poutres contre vrai lambris...
Et voilà une autre aventure qui s'achève. Cette fois-ci, c'est l'histoire de fausses poutres qui nous plaisent pas du tout. Les voici :
Avant de commencer à les enlever, il a fallu savoir comment elles avaient été posées. Finalement, en analysant la partie légèrement visible, c'est le constat de Gaspard qui nous a le plus convaincu : une volige était vissée sur chaque solive puis des planches avaient été clouées sur la volige en question. Le tout vissé sur une plaque de bois. Il a donc fallu enlever les tasseaux cornière qui étaient cloué sur les grosses poutres. La scie sabre a été bien utile.
Une fois les 4 tasseaux-cornière enlevé les voliges dévissées, nous obtenons un plafond de ce style :
Les trois vrais poutres restantes ont été poncées, avec la disqueuse, ainsi qu'une fausse poutre coté chaux-donc la seule qu'on a gardé, celle qu'on voit sur la photo- ... histoire de finir "propre" sans retouche. Catherine s'est chargé de passer la disqueuse avec un grain de 50 et moi la ponceuse excentrique avec un grain de 120 (je n'avais plus de 80). Le passage de la ponceuse excentrique a permis de rattraper les petits soucis de l'arrondi de la grande poutres et d'effacer quelques traces de disqueuse... qui ne se voit absolument pas d'en bas mais bon...
Il a fallu posé ensuite les tasseaux (récupérés grâce au beau père qui avait fait changer les tuile et donc les tasseaux de l'un de ses toits). Voici donc les tasseaux posés :
Il a fallu les visser tous les 50 cm. On y a passé presque 2 boites de 6 x 80, soit 300 vis !!! Voici Catherine en pleine action
Comme tout chantier, il ne faut jamais oublier les réseaux et donc anticiper et imaginer de manière plus précise la vie dans ce nouvel espace. Bilan de conseil au sein du couple : Le mur sud sera la salle à manger et le mur nord le salon. Il faut donc complèter le réseau Grâce à Philippe, je trouve la solution de mettre en série une lampe au plafond ave une lampe existante sur le mur sud (donc dans l'espace salle à manger). Il ne reste qu'à faire des quelques saignées dans la terre. Voici philippe en train de faire le branchement électrique :
Et la gaine vissée entre 2 vis pour ne pas tomber, environ à 1,6 m du mur sud, soit au milieu de la pièce :
On imagine aussi la place de la télé (que l'on mettra dans un meuble. On ne l'allume pas très souvent...) et celle des haut-parleur. du coup, on fait encore deux saignées : une pour la télé et une pour les 2 hauts parleurs qui seront suspendu à la grosse poutre. :
Une fois nos réseaux posés, on peut continuer allégrement la pose de notre lambris. Grâce à notre cloueur pneumatique et au compresseur gentiment prêté par Thomas et JF, nous pouvons nous lancer dans l'aventure. Nous commençons vendredi après midi vers 16h avec Gaspard :
Samedi matin, avec un démarrage en douceur avec du Taï chi chuan, nous continuons la pose du lambris :
et nous terminons dimanche matin, Catherine et moi. Voici donc le résultat final :
- Encore merci à Fred pour ses leçons sur le tabletage. J'ai pu mettre en pratique ses conseils pour la pose des derniers morceaux de lame. En général plus ou moins 1 heure pour chaque petit morceaux.
- Bravo à Catherine pour son idée de visser les dernières lame au lieu de les clouer. Ainsi, si un jour nous souhaitons d'installer un poelle ou une cheminée dans le salon, il n'y aura qu'à dévisser.
- Merci à Odile et à Christian pour leur compresse magique sur ma petite cuisse gauche qui n'avait pas assez apprécié le confort de l'échaffaudage.
Il ne reste plus qu'à :
- reboucher les saignées. Nous avons déjà commencé ce soir avec François.
- clouer des quard de rond entre les planches de lambris et les grosses poutres.
- faire des pinthes maçonnes
- Passer un badigeon sur 2 murs.
21:48 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (4)
01/02/2009
Faites une épure vous dis-je !
Concernant la solution que j'étais en train d'adopter pour résoudre le problème du mur branlant :
Bernard était limite horrifié par la solution du tasseau qu'il qualifié calmement de solution très correcte pour une cabane de jardin mais sûrment pas pour une finition dans une maison. Je lui ai donc demandé quelle serait sa proposition. Etant donné qu'il n'est pas du genre à critiquer sans proposer... il m'a appelé quelques heures plus tard puis s'est rendu sur le chantier.
Entre temps, je m'étais amusé à raboter (face où il n'y avait pas de risque de rencontrer de clous) et de poncer les autres faces. J'ai même fait quelques essais de pâte à bois pigmenté car je voulais mettre en valeur 3 mortaises. J'ai essayé :
- copeaux de bois
- colle à bois
- pigment naturelle
ça a pas mal fonctionné mais avec de la sciure, je pense que cela aurait été encore mieux mais bon les copeaux étaient vraiment petits.
Mais revenons à la solution de Bernard. Voici la solution initiale :
Voici la première solution que Bernard trouve ultra-méga rustique. En marron foncé, on aperçoit le tasseau
Et sa proposition :
L'avantage de sa propostion est de combiner plusieurs réponses à différents problèmes :
- Empêcher le mur de bouger : petite équerre métalique + cheville pour tenir la planche en bois (marron foncé)
- Boucher les orifices entre les solives
Il reste donc à trouver une planche de 445 x 35 cm puis de faire une épure. Comme beaucoup de personnes, je ne connaissais pas ce terme technique. Il s'agit de faire un modèle sur un super cartonné par exemple avant de réaliser la pièce nécessaire.
Et beh voilà, il n'a plus qu'à ....
21:27 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (2)
19/01/2009
On continue les placards à la cloueuse
Bon, voici un petit bilan de fin de journée. Il reste encore demain pour finir les objectifs. Histoire de s'amuser un peu et de voir la vie en couleur, je vais mettre en blanc ce que j'ai fait aujourd'hui et en gris ce que j'aurai fait dimanche.
Jean-François et Thomas nous ont prêté leur cloueur avec leur compresseur. Encore un grand merci. J'ai hâte d'utiliser à nouveau cet outil. Ce matin, l'objectif est de complèter le placard de droite en attendant que la grande Catherine vienne sur le chantier. Ensuite, nous continuons à travailler au RdC pour avancer la cuisine :
- Déplacer les plans de travail qui se trouvent au garage (température ambiante) pour les entreposer sur des trétaux dans le salon (température = 11 à 12 °) Fred est passé sur le chantier. Il m'a donc donné un coup de main à déplacer les 2 plans de travail :
- retrouver les solive pour visser les contre litelage : préparation du lambris acheté à Chuyer. Rien fait à ce sujet samedi.
- Boucher les quelques trous avec un mortier comprenant : cailloux, sable (l'un des trous avait du servir au banchage du mur. Il est donc profond d'environ 15 cm), terre du jardin et un peu de chaux hydraulique. Rien fait à ce sujet samedi.
- Faire une saignée au dessus du mur pour passer les gaines électrique et une autre à 10 cm pour le RJ45 (Internet) Rien fait à ce sujet samedi.
- Par contre, j'ai bien avancé sur la menuiserie du 2ème étage :
Voici la situation dans laquelle nous avions laissé le chantier :
Quelques heures plus tard. Le chaulage couleur abricot est de Catherine :
Puis rattrapage de l'intérieur du placard. Pour finir, j'ai mis un couvre joint (récupéré chez Maurice)
Voici une vue d'ensemble :
Dimanche, c'était un jour d'anniversaire. Donc peu de boulot réalisé sur le chantier :
- découpage de terre cuite pour le coin de la cuisine.
- Pose du pansement du Dr Fred
- Trou dans le mur pour la pose d'un inter.
- Réflexion sur la gestion des plafonds du RdC : finalement le super lambris sera utilisé pour le salon. Cela permettra de cacher le faux plafond à la française et d'avoir un super plafond en bois. Quant au couloir, on va juste lui mettre une toile de verre et si un jour on le souhaite, on pourra toujours lui mettre également une boiserie.
- Réflexion concernant le mur de la cuisine/salon : on devrait utiliser les carreaux de verre et des poutres en bois. On écrira une note avec Catherine à ce sujet.
12:57 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (9)
08/01/2009
La menuisierie avec le grand Fred
Vraiment trop fort le Fred. En plus de monter sa boite d'informatique, il est vraiment doué en restauration.
Ce mercredi, nous avons monté un placard à partir de chute de bois et d'une ancienne porte. En plus, je me suis trompé de gonds. J'avais pris des petits alors qu'il fallait des grands. J'était pourtant bien content de ma préparation. Moralité : on observe bien quand on connait bien... sinon un pauvre gond restera toujours un pauvre gond.
Bref, voici donc ce que nous avons réalisé (cliquez sur la petite photo pour l'afficher en grand)
17:46 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (0)
08/12/2008
L'escalier entre le 1er et le 2ème étage
Afin d'avoir une meilleur circulation de la chaleur, d'utiliser les beaux plateaux de hêtre que nous avons récupérés et d'avoir un confort plus important, nous allons donc changer l'escalier du 1er au 2ème étage.
Comme nous l'a dit Stéphane : l'escalier est la pièce la plus dure à concevoir en menuiserie. Nous avons donc fait appel à Gaspard (architecte). L'objectif est de tout faire ou presque avec de la récupération. Pour l'instant : l'idée est de fabriquer un escalier avec un limon central métallique (l'idée est de récupérer 9 tubes de panneaux de signalisation et de les souder par trois. Pendant que la récupération continue, Gaspard a dessiné l'escalier. Voilà à quoi il ressemblerait :
23:31 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (4)
05/11/2008
La volige est partie...
Quelle super journée, j'ai encore appris plein de choses avec Fred qui est décidement un super prof. En particulier comment poser avec précision une cornière (récupérée chez Maurice) sur un cadre en bois.
Nous avons donc terminé :
- le coffrage qui cachera les nourrice (enfin, il ne manque qu'un coup de scie et la pose de la grande cornière qui nous manquait).
- le coffrage qui cache le tableau électrique du 2ème étage.
Au sujet de ce tableau, nous avons fait une erreur qui devrait être réparable : un télérupteur ça fait un boucan du diable, surtout lorsque le tableau est au dessus d'un lit. Il va donc falloir :
- blinder ce coffrer (éviter les ondes)
- L'isoler phoniquement.
Pour le blindage : je pense coller plusieurs feuilles de papier alu à l'intérieur du coffret en bois (c'est ce que font les constructeurs avec les cables RJ45 de luxe (chaque paire est entourée par une gaine alu) donc ça devrait le faire pour un coffrage.
Pour l'isolation phonique : je recherche un télérupteur qui ne fait pas de bruit. Le problème serait ainsi réglé. Sinon, je chercherai une solution pour isoler phoniquement le coffret (style mortier copeaux de bois/chaux en coffrage).
Sans le coffrage :
Avec le coffrage :
Et l'astuce de Catherine : la planchette qui coulisse :
Et pour finir, le tout en action avec super Fred :
22:00 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (1)
26/10/2008
Essais de décapage
Nous sommes en train de faire des essais de décapage, en voici le bilan :
- Le décapeur thermique, c'est pas mal du tout.
- Les essais chimique fonctionne plutôt bien. On fait des essais en mélangeant de la lessive de soude, de l'eau oxygénée et de l'alcali (amoniaque). ATTENTION : port du masque à gaz (type 1ère guerre mondiale) OBLIGATOIRE et à faire à l'extérieur.
- Demain, on essaye la recette suivante qui a d'ailleurs été utilisée avec brio par mon beau père (je l'ai trouvée sur internet mais je ne retrouve pas la source, désolé pour l'auteur) :
Pour décaper un meuble à peu de frais: 200 gr de farine, 1 litre d'eau.
Delayez dans un 1 l d'eau 200 gr. de farine et faites cuire sans cesser de remuer, une fois le mélange épaissi , stoppez et laissez refroidir. Delayez de la lessive St Marc dans de l'eau tiède, environ 200 gr. de lessive par litre d'eau, ajoutez votre lessive à la farine de façon à obtenir une pâte "gélatineuse", appliquez à la spatule sur votre meuble, attendre au mini 3 heures et ensuite grattez, brossez, rincez
22:35 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (7)
12/08/2008
A la demande de Pedro... les fenêtres
06:44 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (0)
20/07/2008
traitement du bois
Stéphane, qui était présent au chantier participatif du 19 juillet, est professeur en menuiserie. Il nous a expliqué comment il traitait le bois.
Il faut aller du plus pénétrant au moins pénétrant. C'est à dire, en utilisant le couple tradtionnel :
- essence de thérabentine
- huile de lin
- Il commence par une première couche : 3/4 essence de thérébenine 1/4 d'hule de lin. laisse pénétrer un moment, en remet une petite lichette, laisse pénétrer mais avant de quitter le chantier, il passe une éponge dessus avant qu'aucune "mini-flaque" ne sèche à la surface.
- Une deuxième couche moins pénétrante, par exemple 2/3 E T, 1/3 huile de lin.
- Une troisième couche du type 1/2 E T, 1/2 huile de lin
- Une quatrième couche du type : 1/3 E T et 2/3 huile de lin.
06:40 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (10)
02/07/2008
Protection du plan de travail
Voilà où nous en sommes sur nos recherches sur les plans de travail.
- Il devrait être en chêne massif (on a un plan ;-) par contre pas d'un seul tenant (les menuisiers ne sont pas vraiment d'accord sur ce point avec ma super Monique. Il vaut mieux le concevoir en plusieurs morceaux. C'est d'ailleurs le principe des lamélés collés).
- Nous penchons d'avantage pour de l'huile dure sans huile de lin (effet de jaunissement). A ce jour, nous avons trouvé 2 types d'huile qui nous semble de bonne qualité.
- Dechler : d'après les pros, c'est du top mais le prix aussi est top (il faut compter 72 euros TTC, transport compris pour 2 litres de produits. La première couche, c'est de l'imprégnation et l'autre c'est de l'huile dure avec de la cire.
- Biopain : environ 10 euros TTC (sans transport).
- et pour finir : un petit forum
Je pense que l'on utilisera les 2 : Biopain pour les pieds de la structure de la cuisine et Dechler pour le plan de travail. Avec 2 litres, on devrait couvrir environ 10 m2.
Bon, je vais partir : rendez-vous avec Bernard pour lui emprunter son super camion Benne, puis récupération de bois chez Odile et Christian puis achat de siporex qui serviront de montant pour le plan de travail de la salle de bain et enfin un peu de délignement et de tamissage de terre et copeaux de bois (les filles devraient participer pour la dernière phase). Bref, une journée matériaux.
07:10 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (3)