19/01/2009
On continue les placards à la cloueuse
Bon, voici un petit bilan de fin de journée. Il reste encore demain pour finir les objectifs. Histoire de s'amuser un peu et de voir la vie en couleur, je vais mettre en blanc ce que j'ai fait aujourd'hui et en gris ce que j'aurai fait dimanche.
Jean-François et Thomas nous ont prêté leur cloueur avec leur compresseur. Encore un grand merci. J'ai hâte d'utiliser à nouveau cet outil. Ce matin, l'objectif est de complèter le placard de droite en attendant que la grande Catherine vienne sur le chantier. Ensuite, nous continuons à travailler au RdC pour avancer la cuisine :
- Déplacer les plans de travail qui se trouvent au garage (température ambiante) pour les entreposer sur des trétaux dans le salon (température = 11 à 12 °) Fred est passé sur le chantier. Il m'a donc donné un coup de main à déplacer les 2 plans de travail :
- retrouver les solive pour visser les contre litelage : préparation du lambris acheté à Chuyer. Rien fait à ce sujet samedi.
- Boucher les quelques trous avec un mortier comprenant : cailloux, sable (l'un des trous avait du servir au banchage du mur. Il est donc profond d'environ 15 cm), terre du jardin et un peu de chaux hydraulique. Rien fait à ce sujet samedi.
- Faire une saignée au dessus du mur pour passer les gaines électrique et une autre à 10 cm pour le RJ45 (Internet) Rien fait à ce sujet samedi.
- Par contre, j'ai bien avancé sur la menuiserie du 2ème étage :
Voici la situation dans laquelle nous avions laissé le chantier :
Quelques heures plus tard. Le chaulage couleur abricot est de Catherine :
Puis rattrapage de l'intérieur du placard. Pour finir, j'ai mis un couvre joint (récupéré chez Maurice)
Voici une vue d'ensemble :
Dimanche, c'était un jour d'anniversaire. Donc peu de boulot réalisé sur le chantier :
- découpage de terre cuite pour le coin de la cuisine.
- Pose du pansement du Dr Fred
- Trou dans le mur pour la pose d'un inter.
- Réflexion sur la gestion des plafonds du RdC : finalement le super lambris sera utilisé pour le salon. Cela permettra de cacher le faux plafond à la française et d'avoir un super plafond en bois. Quant au couloir, on va juste lui mettre une toile de verre et si un jour on le souhaite, on pourra toujours lui mettre également une boiserie.
- Réflexion concernant le mur de la cuisine/salon : on devrait utiliser les carreaux de verre et des poutres en bois. On écrira une note avec Catherine à ce sujet.
12:57 Publié dans Le bois | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Argh on voit que dalle avec ton jaune qui pique et ton bleu qui electrise :P
Toujours pas de nouvelles des poteaux ?
Écrit par : Tony Moutaux | 19/01/2009
ok, ok Tony, j'ai mis blanc et gris (qui est bien pâlichon). Concernant les poteaux : toujours rien à l'horizon, frère Tony. ;-)
Écrit par : Thierry Baruch | 19/01/2009
Ah c'est plus lisible !
Je touche un mot de suite a ma femme pour qu'elle voit avec son frere pour ta ferraille. J'espere que ca ne sera pas un tuyau, en fer, mais percé :/
Écrit par : Tony Moutaux | 21/01/2009
Bonjour,
petite question technique, je dois poser du lambris sur un mur en bauge (très, très proche du pisé), je compte fixé des tasseaux aux murs puis clous le lambris.
Comment avez vous pour fixer de sur et définitive vos tasseaux sur les murs en pisé?
Merci
Romu
Écrit par : Romu | 29/01/2010
Pour le pisé : j'ai d'abord utilisé des grandes vis avec des chevilles ordinaires. J'ai un peu galéré et il fallait parfois ajouter des papier journal mouillé (qui gonfle en séchant).
Maintenant, je suis plutôt pour mettre des très grandes vis sans chevilles du style : 6 x 120. Je me suis pratiquement suspendu à la vis et ça ne bouge pas. J'ai même cassé des têtes de vis en vissant !!!
Ceci dit, une chose importante : cela dépend bien sûr de ton support. Mon pisé est de très bonne qualité, c'est à dire très bien compacté avec un granulométrie très variée.
Tu as combien de cm de terre en bauge ?
@+
Thierry
Écrit par : Thierry Baruch | 29/01/2010
Ma bauge est très "saine", 60cm d'épaisseur, très compact. Elle a déjà été le sujet de compliments plusieurs artisans "qu'est ce qu'elle est belle votre masse..." (nom local de la bauge).
J'ai dû pratiquer des ouvertures dedans et il a fallu y aller à la pioche. Il a des murs de 5m de haut sans aucune fissure, c'est vraiment une technologie de pointe hors paires!
Sinon je vais essayer le week end prochain de viser dedans pour voir.
Pour rattraper les éventuelles différences de niveaux, je suppose que tu mets des petites calles.
Merci
Écrit par : Romu | 02/02/2010
bravo, mais une chose m'échappe, tu as d'abord fait des boules de terre que tu as ensuite amalgamé ensemble ou bien as-tu tassé de la terre dans un coffrage (technique du pisé) ?
J'aimerais bien voir quelques photos de ta bauge et plus de précisions (par mail par exemple), c'est possible ?
Pour les différences de niveau, oui, j'ai mis des cales, bien sûr. Et n'hésite pas pour la taille des vis, des 6 x 110 par exemple. Si ta terre est bien sêche, je pense que tu vas être étonnée par la résistance mécanique.
Écrit par : Thierry Baruch | 02/02/2010
Bonjour,
merci pour tes réponses, je suis désolé de ne pas avoir répondu.
Ce n'est pas moi qui est fait la bauge elle a 180ans...
C'est une technique de mur en terre par levée successive sans coffrage mais avec un temps de séchage entre chaque couche (d'environ80 cm)
Sinon j'ai une dernière question sur la pose des lambris, les liteaux que tu as fixé au murs faisant quelle section? J'en ai parlé avec mon beau-frère qui me conseille du 5X5cm çà me parait énorme!!!
merci
Romu
Écrit par : Romu50 | 20/03/2010
Si tu parles des "poteaux" sur lesquels viennent se visser les latis, ça me parait correct, pas énorme du tout. Mais bon, je préfère toujours surdimensionner un peu.
@+
Thierry
Écrit par : Thierry Baruch | 20/03/2010
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