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31/12/2007

L'organisation de l'évacuation, par Colombe

J'avais oublié de mettre en ligne, l'organisation de l'évacuation.

C'est Colombe qui tourne :

 



 

 

 

La terre et le plâtre

Hier, j'étais un peu abbatu en préparant les murs chauffants :

  1. Sur tous les murs, nous avons 2 mm de liège tressés super collé contre le mur et dessous il y a environ 5 mm de plâtre avant d'arriver à la brique.
  2. Sur une partie d'un mur, il y a non uniquement des carreaux de plâtre.
  3. En enlevant les plintes, je me suis rendui compte qu'is avaient également plâtré. J'ai pris le burineur pour enlever le plâtre. Là par contre, l'affaire était réglé.

François qui m'aidé à poser les rails sentait bien que je me posais pas mal de question. En particulier concenant l'adéhrence de la terre sur le plâtre.

Je me suis donc permis d'appeler Sainte Monique. Elle m'a rassuré avec son bel accent ariégeois, un petit rappel sur les propriété de la terre, une recette magique et la découverte de sa vingtaine d'article à découvrir absolument :

  • L'accent ariégois

La prochaine fois qu'elle vient, je l'enregistre. ;-)

  • Le rappel sur la terre

La terre adhére très bien sur le plâtre comme sur presque tout d'ailleurs. Contrairement à la chaux qui ne se marie pas du tout avec lui. Il se créérait une petite pellicule de condensation entre le deux en bout de X années. Donc terre/plâtre : oui mais chaux/plâtre : non.

  •  La recette magique

Monique connait bien notre terre et sait qu'elle est beaucoup moins argileuse que la sienne. (environ 20-25% % pour la notre d'où la nécessité d'ajouter peu de sable contre plus de 50% pour la sienne). Pour obtenir un mélange très pégueux :

- Ajouter de l'argile (on trouve des barres d'argile à 100% dans les magasins de décoration/loisirs récréatifs...) pour avoir une terre à 40-50% argileuse.
- L'objectif étant de faire un gobetis, ajouter de l'eau pour avoir un enduit très liquide.
- Passer ce gobetis au rouleau à crépir (celui qui  semble comporter des  brûlures de cigarettes ;-)
- NOTE :  penser à  mettre un poliane pour protéger le plafond.
- Il est possbile de mettre un soupçon de chaux  (une poignée dans un seau de 10 litres) afin de  rendre plus dur  les picots du gobetis.  Cependant, cela n'est qu'optionnel.

 

Il y a environ une  vingtaines d'articles publiés par Monique. Je vous conseille chaleureusement de les découvrir. Il s'agit de pas à pas illustrés par des photos. Ils sont tous d'une qualité très professionnel tout en étant à la portant d'un néophyte complet.
Vous y trouverez par exemple dans la rubrique "Bricolage-rénovation" :

- Comment faire un parquet à la Versailles avec de l'OSB !!!
- Comment déterminer le taux d'argile dans la terre.
- Comment réaliser un mour à la toulousaine
- Réaliser l'étanchéité à l'air d'une fenêtre en rénovation avec appui de de fenêtre en ardoise.

ou dans la rubrique "Aménagement-décoration" :

- Enduit terre/paille
- les laits de chaux
- Réaliser un enduit ciré
- Enduit décoratif terre/chaux/paillettes de lin
- Chaux aérienne ou chaux hydrolique.

 Et bien d'autres articles encore. Ils sont tous sur citémaison

 Elle est vraiment géniale Sainte-Monique ;-)))) 

 Encore merci, pour tout.


 

09:04 Publié dans la terre | Lien permanent | Commentaires (5)

30/12/2007

Préparation à l'installation des 2 premiers murs chauffants

Cette fois-ci le petit déjeuner est fini à 8h05 (horloge lyonnaise ;-)). La tribu dort profondément. Nous avons joué au carom (billard indien) hier soir. J’ai gagné lorsqu’elles étaient 2 contre moi mais à 3 je n’ai rien pu faire. Maïa a même fait rentrer le palet rouge avec un rebond.

L’objectif (avant de finir l’année 2007) est d’installer la tuyauterie pour au moins 2 murs chauffants.
Je relis donc mes notes et visualise mon diaporama avant de partir sur le chantier.
Voici les points qui me semblent importants :
-    installer un rail (support en plastique dans lequel va se clipser le tuyau) tous les mètres (environ).
-    Les rails qui se trouvent à chaque extrémité doivent être à 25 cm du bord pour laisser de la place aux boucles.
-    Commencer en bas et finir en haut.
-    Laisser 5 espaces vides pour régler le pas mais bon, ça je vérifierai. Je pense que vais faire un pas (espace) de 15 cm.

J’essayerai de faire quelques photos… En espérant atteindre l’objectif…

28/12/2007

Astuces en vrac donné par Pascal concernant l'isolation

Pascal est le fils d'Odile, et beau-fils de Christian Bois, (qui au passage a super bien rénové sa maison : la maison de mimi) voici donc les différents conseils, astuces, remarques qu'il m'a donnés :

salle de bain

la lame d'air n'est pas nécessaire s'il s'agit de liège en vrac et si le mur est en pisé. L'air contenu entre le liège en vrac ainsi que le mur en pisé devrait gérer la vapeur d'eau sans problème. surtout s'il y a une VMC.

Pour le plafond : Mettre de la fibre de bois que l'on agraffe au plafond existant (il faudra trouver les chevrons) puis une lame d'air et enfin deux couches de Fermacell. Ce n'est pas le double de travail mais par contre il y a bien le double de matériel.  Penser à bien croiser les planches. Il n'y a donc qu'un joint (ceux de la dernière couche à gérer. L'avantage est qu'il y a une meilleur gestion de la vapeur d'eau (2 couches) et qu'il y a une diminution de l'effet de boite (la couche est plus grosse et il y a moins de réverbération).

Pour les douches : monter 2 cloisons en briquettes creuses (plus légère que la pleine ;-) ) puis mettre une porte. Comme finition : enduit à la chaux (stuc. Le stuc n'est pas étanche mais résisterait sans problème au ruissellement). Si nous mettons en oeuvre cette solution, tu nous aideras Monique ?

Le grenier (combles perdues)

Plutôt que de mettre de la chaux en poudre en dessous et au dessus et prendre le risque de laisser des courants d'air entre les bottes : plonger chaque botte dans une barbotine de chaux, les faire égouter puis les joindre ensemble :

  1. Pas de bestioles indésirables.
  2. les bottes sont jointes parfaitement.
  3. Pas de poudres partout

Concernant les bords de toitures, faire un coffrage et y jetter du liège ou un mortier copeaux de bois/ chaux. Fermer avec un faux plafond au Fermacell par exemple. Petite astuce concernant le remplissage avec du liège en vrac en haut de mur... utiliser un vieux bas de grand-mère -> élaboration d'un boudin isolant avec des morceaux de liège.

Finition des murs en paile

Utiliser un taille-hauie pour bien égaliser le mur. Ensuite, plutôt que de prendre de la toile de jute, utiliser des filets de pommes de terre 

Voili, voilà, ça sera tout pour aujourd'hui.

 

Au programme de demain : fin de la démolition et achat de quelques bricoles avant de commencer l'installation des murs chauffants. 

 

Remplissage avec du liège en vrac

Mais comment finir le remplissage d'un cloison lorsque l'on isole avec du liège en vrac. Lors du remplissage du plafond du grenier,nous avions été obligé de finir avec un peu de paille (pas trop tassée). Et bien, selon St Pascal, à ce moment, nous n'avions pas assez penser à nos grands-mères et... à leur bas. Et non, il ne s'agit pas d'érotisme et Toulouse Lautrec, n'a malheureusement rien à voir dans cette histoire. Par contre, un bas peut contenir classiquement une jolie jambe ou... du liège en vrac qui ne risque plus de tomber.

Moralité, il fallait penser à transformer une jolie jambe en un boudin de liège en vrac.

Bon, ça me donne faim tout ça. Rien de tel qu'un bon petit déj aux céréales pour commencer la journée.

 

Au plaisir de vous lire. 

 

Y viva le travail collaboratif

Ce fut impressionnant, nous avons commencé à 15h10 et avons du arrêter à 17h au risque de mettre le super camion benne de Bernard en surcharge.

Louna et Capucine triaient le latis ou descendaient des demi-seaux, Colombe et Maïa descendaient également des sceaux, idem pour Catherine qui aidaient les filles à s'organiser et qui vidaient des seaux dans le camion.

Il ne reste qu'une chambre à débarasser. Je vide le camion à la déchèterie et nous recommençons demain pour finir la dernière opération de démolation... de la maison.

 Encore bravo aux filles... qui me rappelaient que le travail des enfants était interdit en France.

Il a donc fallu faire un petit rappel entre les droits et ... les devoirs.  Grand débat...

27/12/2007

Notre cadeau pour Noël...

..J' espère que vous avez passé de joyeuses fêtes.

 

Après de nombreuses heures de travail, mes filles vous offrent ce magnifique cadeau

 

Au plaisir de vous admirer dans la même situation. 

Préparation de l'isolation de la salle de bain


Ouf, mission accompli.

Je m'étais donné la journée pour préparer l'isolation de la salle de bain :

  1. Tirer une ligne en 1,5 mm pour une éventuelle VMC avec réglage par hygrostat. Tous les copains sont contre mais personnellement je ne vois que des avantages à ce joujou. Pour environ 50 euros, j'ai un petit extracteur qui se met en route en fonction de degré d'hygrométrie que j'ai choisi. Ça aide toujours dans une salle de bain, non ?
  2. Ajouter un point lumineux. la salle de bain est grande, je dirai immense. Il manquait donc un peu de lumière.
  3. Poser les montants qui recevront le coffrage (Fermacel, agglo hydrofuge... ????) pour y insérer ensuite 24 cm de liège. Je ne peux pas poser les montants qui se trouvent à gauche et à droite des fenêtres car il y a le départ et l'arrivée du radiateur qui sera transformé en séche serviette géant... basse température. J'attends super Ali pour jetter un sort à ce sèche serviette. Il est important de noter que derrière ces montants se trouve un mur en pisé.
  4. Concernant la partie haute (au dessus du pisé) : Mettre quelques tasseaux pour disposer d'une lame d'air qui cette fois n'est pas vraiment indispensable puisqu'il s'agit d'un galandage (de l'extérieur vers l'intérieur : moellons -  lame d'air de 16 cm que nous avons rempli avec du liège - briquette de machefer.

 Je cherche toujours à savoir si le fermacel joue le rôle de freine-vapeur. Si oui, puis-je l'utiliser dans une configuration qui serait :

mur en  pisé - 24 cm de liège en vrac - fermacel ?
N'hésitez à dire ce que vous en pensez. 

 

Un peu fatigué mais fier d'avoir atteint l'objectf. Voilà ce que cela donne :


 

 

 

26/12/2007

Le 2ème étage revisité...


Histoire de changer un peu de l'isolation et de se réchauffer un peu : rien de tel qu'un peu de démolition.

L'objectif était de réduire une salle de bain qui aurait étée très grande ainsi qu'un couloir un peu inutile afin d'agrandir les 2 chambres en question.

En photo :

Avant : La chambre 6 aurait été la salle de bain, la chambre 5, la chambre de Colombe et la chambre 4 la chambre de Maïa. Par manque de courage, nous avions, à l'époque ;-) la flemme de casser quelques cloisons supplémentaires. Pourtant, le bilan, n'était pas terrible : une salle bain de 11,2 m2, un couloir qui ne servait pas à grand chose ce qui réduisait la taille des chambres.

 

Image hébergée par servimg.com

et le projet de maintenant : la salle de ain a retrouvé une taille normale et les chambres se sont agrandies.

 

Image hébergée par servimg.com

 

En attendant, voilà où nous en sommes :


 

 

 

 

 

 

En fait, il n'y a aucun plafon à la française... pour l'instant mais cela a donné des idées à Catherine et Bernard. Donc peut être quelques plaques de placo à découper. Personnellement, je préférrais mes planches à vaches comme dit Bernard. M'enfin.... 

Mortier de copeaux de bois à la chaux

Les "vacances - isolation" continuent. Pendant que ma tribu et digérent les festivités de la veille, je m'amuse à calculer la masse volumique du mortier isolant "copeaux de bois et chaux" que j'ai découvert grâce à Mireille. Elle l'avait découvert, il y a plusieurs années grâce à Jean-Pierre Oliva qui lui avait conseillé de l'appliquer pour rénover son châlet à la montagne. Elle en est encore très contente.

L'objectif de mon calcul est de déterminer la masse volumique afin d'avoir une idée sur l'isolation thermique (en phonique je ne ne connais pas grand chose, j'ai justes quelques idées). Donc :

  • si la masse volumique est faible -> le mortier comprend beaucoup d'air, il est isolant mais n'a pas d'inertie. 
  • si la masse volumique est importante -> le mortier comprend peu d'air (ce qui ne signifie pas qu'il n'est pas perspirant, c'est à dire qu'il gère la vapeur d'eau), il est donc peu isolant mais a de l'inertie.

Dans notre cas, je ne cherche pas l'inertie (avec une maison en pisé, il y a ce qu'il faut) et l'inertie des murs nord (murs froid et sec) ne m'interesse pas vraiment ....

Pour avoir quelques idées : la masse volumique de la paille est d'environ 110 kg/m3, celle de la terre : environ 1800 kg/m3...

 

Voici donc à  quoi ressemble le morceau que j'ai fait pesé hier à Botanica : 

 

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Après avoir posé une tare de 720 grammes et sachant que la balance étant à 10 gramme près, l'échantillon pèse entre 40 et 50 grammes. Prenons 50 grammes .
Les dimensions sont les suivantes : 14,5 x 9 x 5 (et il y a des manques que je n'ai pas calculés), soit un volume de 0,0006525 m3
Nous avonsn donc :  0,0006525 m3 -> 50 g
soit pour 1m3 -> 76,62 kg
 
Ce mortiera donc une masse vollumique infèrieur à celui de la paille. De plus, il est casiment gratuit (les copeaux se récupèrent gratuitement à la scierie), il ne craint pas les visiteur indésirable par contre je pense qu'il doit être plus inflammable que la paille (qui contrairement à ce que l'on pense resiste très bien au feu) mais ce n'est qu'une idée.
 
Encore merci à Mireille pour ce mortier que je vais sûrement utiliser pour isoler une cloison
Etant donné sa friabilité importante, ce mortier ne peut-être utilisé qu'en coffrage (enfin, il me semble).
 
Conseil de Philippe : si vous utilisez des copeaux verts (non secs), il n'y a même pas besoin d'ajouter un peu d'eau. Le mélange se stabilise tout seul mais je n'ai pas encore essayé, cela sera sans doute une autre histoire.
 
ps : si vous avez des remarques, suggestions, critiques... surtout n'hésitez pas à laisser un commentaire 

Et en dessert : lame d'air ou mortier...

Samedi Ali a encore frappé. C'est en présence de Philippe, que j'ai encore appris, revu, peut-êtres acquis certains concept de base concernant l'isolation.

Etant donné que j'isole avec de la paille, il y a 2 solutions pour gérer la vapeur d'eau (la paille n'aime pas trop et elle risquerait de pourrir) :

  1. finition chaux/terre :
    1. traiter le latis et le bois qui sert de structure (Philippe ne m'a d'ailleurs pas conseiller de continuer dans cette voie car il y a un risque de contamination. Après rélféxion, je ne comprends pas où est le risque concernant le latis s'il est recouvert de chaux) , il est important de mettre un freine vapeur (ça ressemble à du papier kraft) et de laisser
    2. Coller une toile de jutte (environ 1€ le m2. Meilleur plan actuel : Prely, ZA Castel Culier, 05 53 68 57 00, CELOPLAST : 2,1 x 25 m (72,36€ HT, 1,5 x 25 = 36,21 € HT)) sur l'ensemble de la structure (cela est nécessaire car il y a deux matériaux différents : la paille et le latis)
    3. Projeter l'enduit (terre/sable/chaux/paillette de lin par exemple)

  2. finition bardage bois :
    1. Poser le freine-vapeur sur tout le mur
    2. Clouer ou visser des tasseaux d'environ 1,5 (selon super Monique, une lame d'air supèrieur à 2 cm ne sert plus à rien)
    3. Clouer (avec des clous tête homme) le bardage.

Moralité, il a fallu défaire le beau travail de Catherine et remettre du latis (latis que je traiterai avec du sel de bore, précaution supplémentaire).

 

Il ne reste plus qu'à commander un joli rouleau de toile de jute à Prely....

 

Joyeux Noël à tous 

22/12/2007

L'isolation du grenier gérée par Mireille et Geneviève

Et voilà un autre mur nord isolé. C'est Geneviève qui était la formatrice, vu sa grande expérience ;-)

Le côté gauche n'est pas encore fait car j'attends le verdict de super Ali concernant les murs chauffant (coupe-je ou pas les tuyaux de chauffage).

Voici le résultat :

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un détail :
 
 
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et un autre :

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Il ne restera plus qu'à enduire à la terre de préférence (la chaux croquera mes vis avec le temps).
Vous avez une idée pour la technique à suivre ?
 
 Suite à la visite d'Ali et de Philippe, il manquerait un pare vapeur pour éviter que la condesation du au choc thermique entre le froid du mur nord et la chaleur de la pièce ne vienne se déposer sur la paille et donc risquerait de la pourrir.
Il va donc falloir que ajouter un pare-vapeur pour un petit tasseau d'environ 2 cm pour laisser une lame d'air.
Cette lame d'air devra être ouverte (quelques miilmètres en bas et haut).
 
Entre les montants, il me semble important de ne pas laisser plus de 40 cm car la largeur des plus de mes bottes font 45 environ. Nous les rentrons en forces mais maintenant qu'il y a le frein vapeur, il va falloir trouver une modification. Le frein vapeur est un papier fragile type papier Kraft.
 
 
@ suivre ;-) 

 

Un super gîte et lieu de formation

Lorsque j'ai fait mon stage de mur chauffant avec l'association "Au pied du mur", j'ai eu la chance de dormir dans un super gîte avec des personnes hyper compétente dans de nombreux domaines éconologiques : chaux, paille, bois... bref, tous les postes de la maison.

Voici leur coordonnées :

gerard vivès et martine moulet
la motte
32 000 L'Isle-Arné
tel : 0562658045
entreprise Calterra 

 et une photo pour vous mettre en appétit : 

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Les plans des murs chauffant,

Je mets cette note (22 décembre 2007) à jour en y annexant 3 documents : 

  • Le calcul des murs chauffant (la puissance en watt est très très approximative)
  • Les plans des 1er et des 2ème au format .doc (plus de lisibilité)

Finalement, je pense que nous allons nous orienter davantage sur du multicouche. Plus cher mais avec une barrière anti-oxygène certaine puisqu'il y a une couche d'aluminium).

Il ne restera plus qu'à trouver une pine spécial pour sertir.

 

Après avoir visité Lyon et sa fameuse fête des lumière, je reprends la mise à jour du blog.

Surtout que le bande à Ali a encore frappé :

En effet, nous avons trouvé les chemins secrets pour tirer 5 réseaux au 2ème et 4 réseaux au 1er (il va d'ailleurs falloir interchanger les nourrices puisque nous avion utilisé une nourrice 5 voies au RdC alors qu'il n'y a que 4 réseaux.).

Voici donc le plan du 1er (cliquez sur l'image pour l'agrandir) :

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 et celui du 2ème (idem pour agrandir l'image) :

 

20/12/2007

Protection des fenêtres

Protection éconologique des fenêtres

Les fenêtres vont bientôt arriver.

Le beau chêne est débité. 

Il va falloir le protéger.

Pour assurer sa durée.

 

Rien de tel qu'une mixture grasse

comprenant 3/4 d'huile de lin  bien cuite 

et 1/4 d'essence térébenthine

pour remplacer l'huile dite dure.

 

Faire boire la fenêtre jusqu'à plus soif

L'avantage de l'huile dite dure

est qu'elle sèche vite

et pénètre bien dans le bois avec l'essence.

 

Il y aura des photos quand nous commencerons les travaux pratiques. 

 

17/12/2007

risque d'autocombustion

Voici le correctif de François Leroux quant à la densité des copeaux de bois :

Correctif sur la densité du bois 

  Le bon chiffre est donc 700 kg/m3. Plus de précisions dans le livre "l'isolation  écologique" de Jean-Pierre Oliva. D'après ce livre, cette valeur varie  entre 600 et 1200 kg/m3 en fonction du dosage de liant.  
  risque d'autocombustion  

Pour ce qui est de l'autocombustion, il s'agit d'un phénomène qui se

  déclenche lorsque des matériaux végétaux contenant une trop grande  quantité d'humidité sont entreposés ou mis en oeuvre. C'est surtout vrai  pour le foin, mais extrapolable sur la sciure de bois, les céréales, des  copeaux et de la paille. Si les matériaux sont secs à la base il n'y a  pas de risque particulier d'autocombustion. Pour plus de précisions,  voir le site http://allopompiers.ch/prevention.html  

Encore merci François pour toutes ces précisions.

 

Thierry 

Comment gérer l'aération

Isoler ok mais pensons à aérer.

 

Pour les chambres, no problemo. Il suffit d'ouvrir les fenêtres de temps en temps et les matériaux respirant (ce qui signifie qu'ils ont des caractéristiques particulières pour gérer la vapeur d'eau). Par contre, ces matériaux doivent, comme tous les autres, avoir des limites et il me semble qu'il est important de les aider surtout dans les salles d'eau (salle de bain et cuisine en particulier).

Pour l'instant, je vois les solutions suivantes :

  • ouverture des fenêtres de temps en temps
  • petite VMC avec hygrostat, je me suis inscrit au forum de Cité maison (Arno, l'administrateur me propose partuculièrement une petite WMC avec hygrostat, environ 50 euros.)
  • tube en PVC avec ouverture et fermeture manuell
  • modèle qui fonctionnerait sans moteur (selon Virginie). C'est une "peau" qui gérerait l'ouverture ou la fermeture de l'aération. Cette peau serait bien sûr sensible à la vapeur d'eau. A un certain seuil d'humidité, elle s'ouvre.

Qu'en pensez-vous ? 

16/12/2007

matériaux récupérés ou ouate de cellulos pour une isolation phonique ?

L'objectif est d'isoler surtout phoniquement 2 chambres du 1er

Pour l'instant, nous pensons à du placo sur supente et remplir avec des mini bottes de paille (environ 25 cm de hauteur). Cela isolerait phoniquement, thermiquement et réduirait le volume à chauffer (hauteur sous plafond actuelle : 3,3 m). il y a aurait la sulution plus luxueuse : fermacel (qui resisterait à la pression d'une insuffleuse) et ouate de cellulose.  Je me posai donc la question sur la résistance mécanique du placo. Je pense avoir trouvé la réponse sur le net (source : fiche technique de "Plafonds Placostil® F 530 et FH 500, Montage standar", www.bpbplaco.com) : 

Les dispositifs de suspension, associés aux ossatures, doivent supporter à rupture le poids
propre du plafond (plaques et ossatures), une surcharge de 20 kg/m2(poids de l’isolation, des
effets moyens dus au vent et charges ponctuelles correspondant aux fixations éventuelles d’objets sur
l’ossature) affectés d’un coefficient de sécurité de 3Les spécificités relatives aux travaux de mise en
œuvre, de jointoiement et de finition sont traitées.


Voici la réponse de François Leroux (conseiller technique à Oïkos) :

Pour la densité de la paille, elle varie entre 80 et 120 kg par mètre cube pour des bottes, mais est largement inférieure pour du vrac. Si tu passe par des bottes, la solidité de ton faux plafond devra être importante. Pour les copeaux de bois secs, on doit être à environ 70 kg par mètre cube. Par contre attention à l'autocombustion éventuelle de ce genre de matériaux en vrac qui peut avoir lieu dans certaines conditions partriculières d'humidité et de chaleur. Sinon, la solution d'insuffler de la ouate de cellulose est bien adapté à ce genre d'isolation phonique, mais avec un coût qui sera plus élevé qu'en passant par des matériaux récupérés.

 

Voici donc où j'en suis en ce dimanche 15 décembre :

1. Je suis étonné que les copeaux en vrac pèse moins que la paille (dans notre cas, je récupére du chêne, s'il vous plait ;-) et le fait de savoir que les restes des fenêtres isolerait thermiquement et phnoniquement une partie de la maison me plait beaucoup).

Avec Mireille, nous avons fait un mortier copeaux/chaux. Je vais pèserai prochainement pour obtenir la densité de ce produit qui devrait être moins inflammable et moins sujet aux bestioles indésirables.
Calculons le poids d'un mètre carré de paille (plus ou moins tassé comme de la botte de paille) à 30 cm :

Cela fait 0,3 m3 soit  environ 35 kg par m2. Donc, si je ne tasse pas trop la paille, nous devrions être bon. Reste à obtenir quelques chiffres approximatif sur une isolation phonique de ce type. Ceci dit, nous ne sommes pas oblgé de respecter le facteur 3 (pas de vent à l'intérieur de la maison donc risque de tornade limitée ;-).

Voià ce que donne la fiche technique :

99bef643954aa7d158c51951716e83da.png

 

Ceci dit, je vais quand même regarder la solution ouate de cellulose pour savoir que serait son coût. Forcément  beaucoup plus chère mais de combien

@ réfléchir

François Leroux a écrit :

Salut Thierry,

 

14/12/2007

Calculs des murs chauffants

Voici le calcul des murs chauffants. Comme d'hab, c'est empirique mais ça devrait faire l'affaire :

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si nous additionner les 70 x 50 w du Rdc, nous aurons donc un totral 3500.
 
D'après l'analyse des besoin de la bande à Ali (8200 w), nous sommes au dessus.
 
Qu'en pensezs-vous ?  

 

22:32 Publié dans La tomette | Lien permanent | Commentaires (0)

13/12/2007

Mais quels tuyaux choisir ?

Pour les murs chauffants 

Je me pose des questions sur mes tuyaux en PER : histoire de barrière anti-oxygène et surtout souplesse faible et donc inquiètude pour obtenir un pas de 15  ou de 20 cm.
Pour l'oxygène : un anti-boue devrait faire l'affaire mais pour la souplesse... ???

Il y a donc la possibilité du multicouche comprenant une gaine aluminium. Ce produit est très bien mais il est beaucoup plus cher et nécessite une pince spéciale pour les raccord. C'est une première solution.

Je viens de découvrir les tuyaux en polybuthylène.
Ils ont l'avantage d'être moins cher que le multicouches tout en étant plus souple (pas de 10 cm possible), de disposer également d'une barrière anti-oxygène et de ne pas nécessiter une pince spéciale pour les raccords. Ils seraient garantie pour au moins 50 ans à 70°C et 10 bar de pression.  Cela devrait donc faire quelques siècle à 50°C et à 2 bars ;-)

Plus d'infos sur ce produit : 

http://www.pbpsa.com/fre/tech-pipeflex.asp

Qu'en pensez-vous ?

06/12/2007

L'isolation du cellier made in Catherine

Ingrédients :

  • paille
  • lambris et parquet d'Ali
  • clous
  • vis rocket de 4x25
  • équerre

Ustensiles :

  • Cloueur pneumatique de JF
  • visseuse de Thomas
  • niveau à bulle
  • crayon à papier
  • craie grasse
  1. Installer les montants à l'aide du niveau à bulle.
  2. Clouer quelques lambris sur les montants.
  3. Remplir de paille.
  4. Tasser la paille
Et voilà le résulat Made in Catherine :

 



Encore merci à nos sponsors Ali et la future entreprise MCGM