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29/11/2007

Petite réflexion technique sur l'isolation faite sur le mur Est avec mortier isolant et sur les murs Nord avec de la paille

Je vais essayer de comparer ce qu'il y avait avant sur les murs et ce que nous pensons faire.

 

Au RdC, sur le mur Est :

Il y avait des carreaux de plâtre avec une large lame d'air > 5cm. Donc, sauf erreur de ma part :

1) Je perdai l'inertie du mur.

2) Le mur ne pouvait plus très bien gérer les vapeur d'eau (perspiration). Encore que ce point soit à revoir. Monique serait sans doute d'accord avec cela mais depuis je pense que cela est partiellement une erreur. En effet, il me semble que les carreaux de plâtre bien qu'étant hydrophobe arrivent à gérer en partie les vapeur d'eau (à vérifier)

3) la résistance thermique est faible pour une lame d'air. R = 0,16 pour une lame d'air > 14 mm

Dans notre premier cas, nous avons donc un R de 1,22 

 

Dans le 2ème cas avec un mortier isolant-maison (4 volumes de pailles mouillée, 1 sable, 2 terre, 1 chaux aérienne).

Je viens de peser mon échantillon. Il pèse 0,4 kg et a volume de 0,00032 m3, soit une masse volumique de 1250 kg/m3.

Je dois avouer que je suis un peu déçu du résulat. En effet le lambda pour ce mortier terre-paille est d'environ 0,35 (selon le bouquin de J.P Oliva "la conception bioclimatique") soit un R = de 0,28. Certes 175% mieux que la lame d'air et en plus, je conserve l'inertie du mur (intéressant pour les chaleur d'été -> maison plus fraîche à l'intérieur) mais le lambda reste 4 à 5 fois inférieur à celui de la botte de paille. 

Par contre, je limite davantage la sensation de paroi froide que l'on peut ressentir avec le plâtre et la finnition est, à mon goût, bien plus belle (encore merci la belle Catherine pour ton idée de paillette de lin). 

Dans notre second cas, toujours avec des murs en pisé de 55 cm d'épaisseur, la résistance thermique est donc R :  0,28 + 0,7 (mur en pisé de 50 cm) = 0,98 pour le mur est du RDC

Pour le mur en botte de paille de 10 cm pour les murs nord : 1,6 + 0,7  = 2,3 environ. Nous sommes presque dans la RT 2005 qui demande des mur avec un R de 2,5. Ceci dit, les murs n'étant pas vraiment droit, il y a des endroit qui ont près de 16 cm de paille...

soir près de 150% d'isolation supplémentaire pour un mur à 40 euros. Vivie l'éconologie. 

27/11/2007

Isolation des lames d'air en copeaux de bois

Suite à la rencontre de Mireille et à la découverte des lames d'air, nous pensons utiliser les copeaux de bois.

1. Mireille l'a mis en place il y a plus de 10 ans. C'est un certain Jean-Pierre Oliva qui l'avait conseillé.

2. En cherchant sur le net, j'ai découvert un lien intéressant. Et en particulier la note suivante : 

Nous avons réalisé plusieurs isolation de toiture en versant en vrac des copeaux entre deux lattis espacé de 30-40 cm. par mesure anti bestioles, nous saupoudrons les copeaux de chaux aériennes à sec avant de les bourrées dans le coffrage. L'hiver, la neige ne fond pas sur le toit alors que la température intérieure de la maison est maintenu autour de 21 °.
Nous utilisons aussi les copeaux en mélange avec de la chaux hydraulique ou du plâtre ou un mélange des deux selon l'effet final désiré. Le mélange est de 3-4 parties de copeaux pour une de liant.
Sur plusieurs années de tests, les plus anciennes réalisations datent d'il y a 10 ans : satisfaction totale !

Actuellement, je me demande s'il est plus intéressant d'utiliser les copeaux sec + soupoudrage à la chaux ou bien la solution mortier : copeaux + chaux (et donc un peu d'eau). Voilà d'ailleurs ce que donne cette solution : 

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Ce qui me plaît dans ce mélange, c'est que tous les copeaux sont enrobés de chaux sans pour autant augmener de manière significative l'inertie du mortier (pas de sable, uniquement de la chaux + des copeaux et un peu d'eau). Il y aurait (suposition) donc moins de risque de visteurs non désirés.
 
Encore merci Monique.
 
Ps : il ne reste plus qu'à Jean-François et Thomas à commencer les fenêtres... pour avoir des copeaux ;-)))) 
 
Nous sommes le 27 novembre et je viens d'avoir un compléments d'information concernant ce mortier de la part de François Leroux d'Oïkos :
Des tests avaient été effectués il y a quelques années sur des mortiers isolants de copeaux de bois.
Ces mortiers intégraient de la chaux aérienne éteinte Balthazar et Cotte, des copeaux de bois (sortie rabotteuse) 90 % résineux tassés, du plâtre 857 et de l'eau. Je n'ai pas les proportions de chaque éléments, mais la densité du mortier était de 570 kg par mètre cube.
La conductivité thermique de ce mortier était de 0,106, donc assez similaire à un mortier isolant à base de chanvre (environ 0,11)
 
 
@ suivre... 
 
 

 

26/11/2007

Mortier à la paillette de lin

Je viens de retrouver un film qui montre bien le rendu du mortier terre/paillette de lin. Idée de Catherine.

Très éconologique (économique et écologique) et très beau. Actuellement le mur Est connait quelques moisissures, ce qui est normal étant donné qu'il y a près de 10 cm de mortier : terre/paille/chaux/sable derrière. Par contre, rien à signaler sur le mur SUd.

Je pense qu'il faut attendre 2 ou 3 mois (si ce n'est plus) pour un sèchage complet.

Un bon séchage puis un petit dépoussièrage et un joli badigeon ou eau forte à la chaux auront raison des dernières bestioles. No problemo.

 

07:10 Publié dans la terre | Lien permanent | Commentaires (0)

25/11/2007

Une nocturne avec Ali

Génial, j'ai eu mon premier cours du soir en plomberie la semaine dernière.

Alors, voyons ce que m'a appris professeur Ali (si je me trompe, tu corriges, hein ?) : 

 

De manière générale :

La soudure sur le cuivre

Un dispostif comprenant 2 bouteilles : acéthylène et oxygène est indispensable.

0. Purger le sytème. Pas de soudure, s'il y a de l'eau dans les tuyaux 

1. couper le tube avec un coupe tube, c'est plus net qu'avec une disqueuse.

2. Pincer le tube.

3. Faire chauffer la partie pincée jusqu'à ce qu'elle devienne orange.

4. Approcher la baguette pour faire la soudure.

5. Vérifier que la soudure est nette (pas de mini orifice qui laisserait passer l'eau : 2 bars de pression) 

 

Les murs chauffants

2 nourrices supplémentaires seront installées dans la maison (1 au premier et 1 au deuxièmeà. Le principe est de faire monter l'eau jusqu'au point le plus haut pour qu'elle redescende ensuite dans les murs chauffant par gravité. 

Concernant les 2 nourrices, je ne pense pas qu'il soit possible de mettre les 2 nourrices au 2ème.
En effet, il faut penser à l'aller et... au retour.
Pour l'aller : pas de problème mais pour le retour, cela signifierait que l'eau des murs chauffants du 2ème devrait remonter pour rejoindre sa nourrice... pas bon du tout, il me semble.


A mon avis, je pense qu'il est intéressant de reprendre l'idée d'Ali et de la mettre en oeuvre de la manière suivante :

0. La nourrice actuelle au RdC

1. La nourrice 2  au 2ème étage pour alimenter 4 réseaux (c'est le max) : 2 pour le grenier, 2 pour les chambres + 1 porte-serviette haute température qui servira de chauffage pour la salle de bain du 2ème.
La nourrice du 2ème se trouverait dans le grenier (côté sud). Un tuyau d'alimentation devrait partir de la chambre du 1er côté sud pour arriver dans le grenier côté sud.

2. La nourrice 3 qui partirait du 2ème ou du 1er (???)  alimenterait  4  autres  réseaux du 1er étage :  2 pour les  2 chambres des enfants, 1 pour la chambre des parents, 1 pour le bureau (petite pièce) à côté de la chambre des parents.

Remarque
Il n'y a rien qui chauffe le couloir. (la maison écolo de Christian et d'Odile : dalle en terre crue, sol et mur chauffant n'en a pas non plus, mais bon, je me pose quand même la question)  Le bilan énergétique permettra d'avoir une évaluation sur la nécessité d'en avoir ou pas.
Le nombre et la taille des radiateurs chauffants est pour l'instant empirique. Continuons dans l'empirisme avant d'avoir le verdict des ingénieurs ;-)))  Il serait en effet intéressant de calculer la chaleur dégagée par les 8 réseaux à installer. Je ne pense pas que cela soit difficile. Sachant qu'un mur chauffant a comme caractéristique : 100 à 140 w/m2.

Calcul empirique pour l'ensemble de la maison
Pour chauffer la maison, il est nécessaire de disposer de 8000 w.
Le sol chauffant (environ 50 w/m2) x 60 m2 = 3000 w
Les murs chauffants : il serait donc pertinent de disposer de 5000 w, soit une moyenne de 625 w par mur chauffant
soit une moyenne de 625/100 = 6 m2 soit un mur chauffant de 3 x 2 m (en effet, pour un chauffage qui fonctionne sur le principe du rayonnement, il est inutile de dépasser 2 m de hauteur). Les pièces font plus de 3 mètres chacune.

Donc on devrait être bon.

@ suivre et à peaufiner plus en détail. 

La démolition...à la découverte d'une nouvelle lame d'air

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 Et bien, les découvertes ne sont pas finies.

L'objectif de cette démolition était de gagner 5 cm environ. En effet, 5 cm de liège isolent beaucoup plus que 5 cm de de carrelage et de ciment. Je n'ai plus les lambda en tête mais maintenant cela me semble évident :

s'il y a de la masse, il y a de l'inertie thermique mais pas d'isolation. S'il y a de nombreuses bulles, voire micro-bulles, d'air, il n'y a pas de masse thermique (ou très peu) mais il y isolation.

Bref,  après avoir dégagé environ 700 kg de gravas et cassé du carrelage et du ciment. J'ai eu 2 belles surprises.

1. Le mur en pisé continuait dans cette pièce jusqu'à 1 mètre de hauteur.

2. Au dessus du mur en pisé, les "anciens" avaient monté une cloison en brique. Leur objectif était d'isoler le mur nord. A l'époque, on pensait qu'une lame d'air isolait la pièce. Ils ont donc laissé une lame d'air de 13 cm que je remplirai avec du liège (pas de paille dans la salle de bain qui ne pourrait, je pense, gérer la vapeur d'eau générée par les douches...et donc risque de pourrissement.

 

Note : Nous en sommes au niveau 2 de la démolition. C'est à dire le niveau démolition-récupération. 

Après avoir cassé le carrelage avec attention. J'ai du récupérer une vingtaine de carreaux 30 x 30 "premier choix" (entier) et une quinzaine "2ème choix" (légèrement ébréché). Encore un grand merci à Bernard ... et à son camion benne.

PS : lorsque je suis allé à la déchéterie, je n'ai récupéré qu'une balance (en état de marche), un peu d'huile (pour ma friteuse à roulette).  

 Voici un petit film pour visualiser le tout.

18/11/2007

Une fin de semaine fructueuse...

Fin de semaine fructueuse pour le chantier.

 Au rez de chaussé

Catherine a continué d'isoler le cellier au Rez de Chaussé. Il manque encore une trentaine de lames de parquet. C'est plus galère que le latis mais après c'est fini. Il ne manquera plus que quelques couches d'huile de lin avec éventuellement un peu de pigment dessus.

 

Au 1èr

La salle de bain est libérée de la grosse baignoire bleue. Il ne reste plus qu'à découper les montants et pour faire un coffrage avec du liège, cette fois-ci. Il nous reste encore plusieurs sacs de bouchon de liège que nous utiliserons en priorité pour isoler les salles de bain (15 à 20 cm pour avoir un R>3 voir 4,5 si 20 cm de liège + épaisseur du mur).
Par contre, j'ai légèrement bougé 2 tuyaux et il y a deux petites fuites à réparer mais bon, je vais demander à super Ali ou à St Bernard de m'aider... une "aventure plombière" en perspective ;-)

La chambre au nord comprend maintenant 3 niches que nous allons remplir de paille. Il va donc falloir :3,56 x 3,4 x 0,23 = 2,78 m3 soit environ  25 bottes de pailles !!! et je ne compte pas les 2 conduits creusés dans le mur. Mais cela sera comblé avec un mortier léger de copeaux de bois et de chaux (nous avons fait un essai aujourd'hui. Celui-ci est religieusement conservé dans un abri qui devrait dépasser les 5°C. J'attends les photos de Geneviève pour les mettre dans le blog ,;-)
Par contre, il faut d'abord  que j'installe  2 prises électriques ainsi que  2 ou 3 alimentations lumières pour éclairer les niches avant de tasser  la  paille (soupoudrée de chaux pour éviter les visites inoportunes).

Encore un grand merci à Mireille pour son aide. Les 14 montants pour la chambres nords sont prêts à être posés.

Les autres montants pour la grande salle de bain sont prêts également (par contre, là il faut encore casser un peu de chose : carrelage mural, plâtre sur le mur en pisé...). 

 Au 2ème

L'armature avait été posée pendant les dernière vacances scolaires. Mireille et Geneviève ont commencé à la remplir en la tassant et en retenant la paille avec du latis. Un tiers du mur a été fait.

Et bien voilà un bonne fin de semaine éconologique.

@ suivre et... au plaisir de lire vos commentaires, suggestions, critiques, conseils....

Thierry 

17/11/2007

La démolition continue...au 1er

Ce matin, avec l'aide de 2 jolies filles (production locale, 9 ans et 7 ans d'attente ;-) , les gravas de la chambre ont été enlevés.

 

Auparavant, j'avais décrouté la couche de plâtre (la paille est bien plus isolant que le plâtre) :

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Voici Capucine au travail :

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 De mon côté, je commençai à casser la baignoire afin d'isoler le nord avec 20 cm de liège et d'installer une douche à la place (ce n'est pas parce que nous ne payerons pas l'eau (le puits nous donne carrement de l'eau potable) qu'il faut la gaspiller.

Un conseil au passage. J'ai écouté super Jean-François et mis des lunettes (et des gants) car les éclats de céramiques sont vraiment coupants. Voici donc la baignoire transformée en puzzle 2000 pièces :

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 Une heure plus tard, les morceaux du puzzle sont rangés dans le camion-benne de Bernard. Il ne reste pas grand chose : 

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13/11/2007

Une lame d'air de 23 cm

En continuant l'isolation des murs nord, j'ai voulu varier en testant un mur est qui donne à l'extérieur (chez le voisin).

Grâce à Ali (toujours le même), j'ai pu scier (encore merci pour la super scie à plâtre) les carreaux de plâtre d'environ 6 cm et ainsi avoir des petites fenêtres. Au début, nous pensions remplir la lame d'air (que nous estimions à environs 7 cm) de paille et de chaux.

Maintenant, nous hésitons. Catherine opterai d'avantage pour des niches ou 2 placards avec des étagères et une isolation de 10 cm.

Bref, si vous avez des idées, ne vous gênez pas.

 

Voici une photo

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:

Vous observerez les 3 petites fenêtres et les carreaux de plâtre.

Au plaisir de lire vos suggestions.

 

10/11/2007

Géraldine et Ali découvre les plaisirs de la toile tendue

Ce matin 2 grands ingénieurs sont passés sur le chantier. Nos 2 VIP ont calculé le nombre de watts nécessaire pour chauffer la maison à 20 °C en ayant une bonne isolation.

Bilan : 8,121 Kw.

Pour un bilan approximatif, je dois dire que j'ai été bluffé.

Dans leur élan, ils ont analysé le parcours des tuyaux de chauffage pour savoir s'il était intéressant de le conserver ou plutôt de chercher un autre parcours.

En effet, les radiateurs (que nous avons cassés et vendu au poids, au grand dam de mon cher Ali :-( )  étaient disposés sur les murs les plus froids (donc sud et nord) alors que les murs chauffants seront installés dans des murs de refends ou des cloisons en briques qui se trouvent entre deux chambres.

Géraldine et Ali ont du découper ceci :   

 

 

... la suite au prochain épisode

L'isolation du cellier

Conjuguer le parquet d'Ali... toujours, à la verticale,  avec les montants et la finition du mur. L'intérêt de finir avec du parquet est d'avoir la possibilité par la suite de poser des petites étagères.

Toujours 10 cm d'isolation à la paille + le parquet ou le lambris "à l'envers" qui est plus isolant que le mortier à la chaux. 

Et voilà un cellier, presque fini, signé "Made in Catherine" avec le coup de pouce d'Ali :

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Une autre photo sera ajoutée lorsque la touche finale sera posée. ;-)
  

07/11/2007

Recyclage de parquet en mur isolant.

Et voilà, le premier mur isolé et presque fini (il ne reste que l'enduit de finition que nous appliquerons au printemps).

 L'objectif

 Isoler les murs nord de manière éconologique (économique et écologique) les murs Nord.

La contrainte étant de trouver un matériaux économique, sain et laissant "respirer" (gérer la vapeur d'eau) le mur en pisé.

 

La solution retenue

Utiliser le don d'Ali (des lames de parquet, du latis et du lambris), donc du bois, et de la paille pour isoler les murs Nord.

L'idée étant de poser une structure en bois et de remplir celle-ci avec de la paille. Un peu comme une maison en paille : ossature bois et remplissage en mini botte de paille (10 cm).

Etant donné que je ne disposai pas de plancher de 2,9 m, j'ai demandé conseil pour savoir quelle était la distance nécessaire au niveau de la jointure entre 2 planches. Différentes personnes m'ont dit 15 cm. J'ai donc pris une première planche, en ai disposé une deuxième dans le prolongement. Puis entre le 2 planches, j'en ai vissée une troisième de 40 cm (pour avoir 20 cm de chaque côté).

Pour tenir le montant, j'ai utilisé des petites équerres.

Le coût d'un mur d'environ de 15 m2 s'élève à peu près à 30 euros (le plus cher étant les équerres, environ 15 euros; la paille : environ 7 euros (6 bottes), quelques grosses vis : environ 1,5 euros, environ 500 petites vis (3 x 25 pour le latis) à 1,15 euros chez Unimate ou les mêmes à 3,5 euros à Leroy Merlin !!!; pour la finition : la terre du jardin, un peu de sable, et 2 seaux de paillettes de lin : 2 euros).

Soit environ 2 € le m2.

 Voici le montage du mur nord en photos :