07/01/2009
2009 : l'année des gens bons
Et oui, rien de tel qu'un gens bon pour commencer cette année.
Voici donc la recette que Bernard m'a donnée. Je l'ai testée et le résultat a été délicieux.
1. Le massage
Commençons donc par prendre notre gens bon et donnons lui, pendant une semaine, une friction quotidienne composée d’environ de 40 grammes de salpêtre pour 1 kg de sel de fin, du thym et du poivre moulu.
2. Le repos
Comme tous les gens bons, le repos est nécessaire. Construisons un lit d'1 cm de gros sel et déposons notre gens bon dessus. Recouvrons complètement notre gens bons de gros sel et laissons le se reposer pendant 35 jours.
3. La douche
Après un tel repos, rien de tel qu'une bonne douche. L'année dernière, on l'a jouté royale : pas de douche mais Bernard tient à la douche à grande eau.
4. La chemise
Une fois propre, le gens bons a besoin de mettre sa chemise. Surtout à cause de sa phobie des mouches et des p'tites bêtes. Le gens bon est donc enveloppé dans un petit filet qui ne laisse pas passer les p'tites bêtes à ailes.
Pour ne gêner personne, les gens bons se reposent environ 1 an dans une pièce fraîche et ventilé.
L'année 2010 sera différente : pas de quartier avec les gens bon. On les mangera tous !!!
22:23 Publié dans Hors sujet... | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
On peut le fumer ???
Écrit par : Minijupe | 07/01/2009
Pourquoi pas mais ça fait un gros cigare, non ?
Écrit par : Thierry Baruch | 07/01/2009
Oh ben ! Là ça me parle les gens bons ! Mais où mets tu tous ces gens bons car s'il y a de la place dans ce bel endroit on peut tenter de les égailler de guirlandes gasconnes... Sauciquét tout ça, n'est-il pas ?
Au fait tu laves à grandes eaux les gens bons ou tu les bouchonnes simplement ?
@llez chaux les gens bons !
Écrit par : LePoulpe | 07/01/2009
Je les mets dans la cave, les gens bons pour conserver leur bon humeur.
C'est surtout Bernard qui les lave à grandes eaux. L'année dernière, je ne les ai pas lavé du tout. Je pense procéder de la même manière cette année, à sec.
Écrit par : Thierry Baruch | 08/01/2009
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